AfficheVintage2001 L'OdyssĂ©e De L'Espace. âŹ17,99 âŹ16,99 Livraison gratuite. Taxes incluses. Ăconomisez 6%. Taille. Bordure. QuantitĂ©. Ajouter au panier.
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Synopsis A l'aube de l'Humanité, dans le désert africain, une tribu de primates subit les assauts répétés d'une bande rivale, qui lui dispute un point d'eau
cash. FR2035 Le cinĂ©ma de science-fiction avait beaucoup perdu de sa vitalitĂ© lorsque le cinĂ©aste amĂ©ricain Stanley Kubrick 1928-1999 se lança dans lâaventure de 2001, lâOdyssĂ©e de lâespace 1968. Le succĂšs de ce film allait donner au genre une nouvelle vie pour plusieurs dĂ©cennies. Si le film recourt aux techniques les plus modernes, ce nâest pas par les effets spĂ©ciaux quâil convainc, mĂȘme si les maquettes des vaisseaux spatiaux fascinent. Câest un nouvel esprit qui marque le film, avec des ĂȘtres prosaĂŻques confrontĂ©s Ă la fois Ă la splendeur et Ă lâimmensitĂ© du cosmos et aux piĂšges de la technique. La science-fiction cinĂ©matographique, appuyĂ©e par la collaboration de lâĂ©crivain Arthur C. Clarke, passe de la spĂ©culation Ă court terme Ă une rĂ©flexion mĂ©taphysique sur lâhumanitĂ© et son [...] Inscrivez-vous et accĂ©dez Ă cet article dans son intĂ©gralitĂ© ...Pour aller plus loin Article liĂ©Kubrick, StanleyStanley Kubrick fut un cinĂ©aste amĂ©ricain du 20e siĂšcle. Stanley Kubrick est nĂ© Ă New York Ătats-Unis le 26 juillet 1928. Il travaille d'abord comme photographe pour le magazine Look. Il rĂ©alise par la suite 2 films... Lire lâarticleLigeti, GyörgyGyörgy Ligeti fut un compositeur d'avant-garde autrichien d'origine hongroise du 20e siĂšcle. Il accordait une grande importance aux masses et aux couleurs sonores. György SĂĄndor Ligeti naĂźt le 28 mai 1923 Ă TĂźrnaveni,... Lire lâarticleVoir aussiscience-fictionamĂ©ricain, cinĂ©ma Ătats-UnisKubrick, StanleycinĂ©ma, films+ sur internetFR2035
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Stanley Kubrick n'a pas toujours Ă©tĂ© un monstre obsessionnel qui exerçait le contrĂŽle absolu sur le moindre dĂ©tail de ses films, ainsi que la lĂ©gende, soigneusement alimentĂ©e par lui-mĂȘme, l'a toujours prĂ©tendu. Il lui est aussi arrivĂ© d'ĂȘtre assailli par le doute et la trouille de l'Ă©chec. Comment expliquer les raisons qui l'on poussĂ© Ă amputer son 2001, l'odyssĂ©e de l'espace d'une vingtaine de minutes, aprĂšs une premiĂšre projection qui avait frĂŽlĂ© la catastrophe ? Dix-neuf minutes selon certains, dix-sept selon d'autres, passĂ©es Ă la trappe, que presque personne n'a revues aprĂšs le 10 avril 1968, jour du lancement du film aux Etats-Unis. Depuis plus de quarante ans, elles alimentent les fantasmes des inconditionnels de Kubrick et ce n'est pas Ă©tĂ©, la nouvelle de lâexhumation de ces images manquantes a fait le tour des sites spĂ©cialisĂ©s. Au festival de Toronto, deux documentaristes amĂ©ricains ont annoncĂ© que les plans avaient Ă©tĂ© retrouvĂ©s dans un coffre dâune ancienne mine du Kansas dĂ©tenue par la Warner, et que le matĂ©riel Ă©tait dans un Ă©tat de conservation personnes quittent la salleLe premier des documentaristes Ă l'origine de la nouvelle est Douglas Trumbull et il connaĂźt bien la question pour avoir Ă©tĂ©, Ă 26 ans, l'un des responsables des effets spĂ©ciaux de 2001. Le second, David Larson, est sans doute le meilleur spĂ©cialiste au monde de ce film hors norme. De son propre aveu, sa vie a changĂ© l'annĂ©e de ses 12 ans quand il a dĂ©couvert 2001 au Cinestage Theater de Chicago, une grande salle Ă balcon avec Ă©cran incurvĂ© Cinerama. Depuis plus de dix ans, il a consacrĂ© son Ă©nergie Ă rĂ©unir les tĂ©moignages de tous ceux qui ont participĂ© au film. Du moins, ceux qui sont encore en vie.J'ai dĂ©butĂ© mes recherches en 2001 en commençant par interroger Frederick I. Ordway qui a Ă©tĂ© le principal consultant scientifique sur le film. Je voulais Ă©crire un livre sur lui, raconte Larson. Ensuite, j'ai rencontrĂ© Douglas Trumbull avant de poursuivre ce cycle d'interviews pour rĂ©unir le tĂ©moignage d'au total 165 personnes. En 2006, Doug m'a proposĂ© de travailler avec lui pour rĂ©aliser un documentaire, ce qui me semblait difficile compte tenu de l'ampleur du travail que demandait mon livre. Puis, en 2008, Doug a eu l'accord de la Warner pour financer un documentaire qui viendrait s'ajouter au livre, formant l'ensemble le plus complet jamais rĂ©alisĂ© sur l'histoire de ce film.» Au programme de leur travail - ainsi que le souligne une bande-annonce allĂ©chante qui circule sur le Net 1 -,du matĂ©riel graphique inĂ©dit des esquisses, les interviews des participants sur fond de dĂ©cors originaux, sans oublierles fameuses minutes de leur dĂ©couverte est de taille car il s'agirait de la toute derniĂšre chance de voir ces plans. Leon Vitali, un des anciens assistants de Kubrick, avait racontĂ© que, quelques mois avant sa mort en mars 1999, Kubrick avait rassemblĂ© des bobines de nĂ©gatifs qu'il gardait dans sa maison de la banlieue londonienne. Selon Vitali, il y avait Orange mĂ©canique, Barry Lyndon, Shining et des morceaux de 2001. Stanley Kubrick avait lui-mĂȘme supervisĂ© leur chargement dans un camion pour les conduire dans une usine de traitement de dĂ©chets industriels oĂč ils avaient Ă©tĂ© incinĂ©rĂ©s. C'est ce qu'il voulait», avait commentĂ© Vitali. Bref, depuis la promesse faite Ă Toronto, le cĆur des fans s'est emballĂ© et chacun a entamĂ© mentalement un compte Ă rebours le sĂ©parant de la dĂ©couverte du trĂ©sor. Une joie de courte durĂ©e car la Warner, qui dĂ©tient les droits, publie cet automne un communiquĂ© sans fioritures. M. Kubrick a fait savoir trĂšs clairement que la version raccourcie serait le montage dĂ©finitif. Le film existe comme il le voulait. Warner Home Video n'a pas prĂ©vu de revenir sur la vision de M. Kubrick.»Pour tenter de comprendre le long processus qui a menĂ© Ă cette situation, mieux vaut revenir Ă lâorigine du problĂšme, au fameux 2 avril 1968, jour de la premiĂšre mondiale du film Ă lâUptown Theater de Washington Ce soir-lĂ , Kubrick, qui vient de terminer le montage de son film, est un peu angoissĂ©. On le serait Ă moins aprĂšs un tournage qui a commencĂ© plus de deux ans auparavant, des acrobaties techniques et un budget de 10 millions de dollars [8 millions dâeuros] qui rend nerveux pas mal de gens, surtout au studio MGM, financier de lâaffaire. Kubricka refusĂ© de montrer le film Ă la presse car il devait inclure au dernier moment les ultimes effets spĂ©ciaux dans une version finale de 161 la projection se passe trĂšs mal. Plus de 200 personnes quittent la salle avant la fin. Je n'ai jamais vu un public aussi agité», dira le cinĂ©aste, des annĂ©es plus tard. Parmi les fuyards, l'acteur Rock Hudson qui lĂąche Ă des journalistes Est-ce que quelqu'un peut me dire de quoi ça parle ?» Deux jours plus tard, le film doit ĂȘtre projetĂ© Ă New York et Ă Los Angeles avant une sortie publique dans les grandes villes amĂ©ricaines programmĂ©e le 10 avril. Mais Kubrick a dĂ©jĂ pris sa dĂ©cision. Avec le concours du monteur Ray Lovejoy, dont c'Ă©tait le tout premier boulot on imagine le cadeau, il taille dans le vif, coupe plusieurs sĂ©quences et expurge des morceaux de scĂšne en faisant de la dentelle. Ils travaillent jour et nuit entre le 5 et le 9 avril et, dans la mesure oĂč les copies sont dĂ©jĂ parties dans les salles, Kubrick envoie Ă chaque exploitant les directives mĂ©ticuleuses pour que les projectionnistes fassent eux-mĂȘmes les coupes. Sans pouvoir vĂ©rifier de ses propres yeux si ses ordres sont exĂ©cutĂ©s Ă la lettre ni mĂȘme ĂȘtre sĂ»r que les coupes ont Ă©tĂ© effectuĂ©es. C'est pour Kubrick le psychorigide la plus raffinĂ©e des tortures mentales mĂȘme s'il affiche une certaine sĂ©rĂ©nitĂ©. Je ne crois pas que les versions fassent une si grande diffĂ©rence, avait-il dĂ©clarĂ© dans une interview Ă l'Ă©poque. Ceux qui ont aimĂ© le film l'ont aimĂ© quelle que soit sa longueur, et c'est exactement la mĂȘme chose pour ceux qui l'ont dĂ©testĂ©.»Un prologue en noir et blancDe fait, quelques centaines, voire quelques milliers de spectateurs ont pu voir la version longue. Soit les directives de Kubrick n'Ă©taient pas arrivĂ©es Ă temps, soit le patron du cinĂ©ma s'en foutait. Ces spectateurs chanceux en ont gardĂ© des souvenirs saisissants. Certains ont Ă©voquĂ© des plans inquiĂ©tants dans la sĂ©quence du meurtre de Poole par l'ordinateur HAL, d'autres un gros plan d'une pantoufle rouge dans le vaisseau extraterrestre⊠David Larson est plus prĂ©cis Il s'agit, pour la majoritĂ© des images manquantes, de morceaux de sĂ©quences qui figurent dĂ©jĂ dans le film. Par exemple, la scĂšne dans le vaisseau spatial lorsque Heywood Floyd, l'un des astronautes interprĂ©tĂ© par William Sylvester, a une conversation par visiophone avec sa fille qui est jouĂ©e par Vivian Kubrick, la fille de Stanley. Un tronçon de cette scĂšne a Ă©tĂ© coupĂ© durant lequel Floyd appelle le magasin Macy's pour acheter un galago un petit lĂ©murien qu'il veut offrir Ă sa fille. Dans la partie coupĂ©e, il parle Ă un opĂ©rateur de Macy's et effectue son achat avec une carte de crĂ©dit - ce qui, en 1968, Ă©tait trĂšs inhabituel. A ce propos, American Express avait Ă©tĂ© consultant sur le film et ils avaient dĂ©veloppĂ© des prototypes de paiement Ă distance, ce qui n'existait pas encore, mais rien n'a Ă©tĂ© utilisĂ© dans le film. Par la suite, une publicitĂ© d'American Express montrait la carte de crĂ©dit au nom de Heywood Floyd, pour montrer Ă quel point ils Ă©taient en avance sur leur temps. Cette carte avait d'ailleurs vraiment Ă©tĂ© imprimĂ©e pour le film.»David Larson Ă©voque d'autres sĂ©quences, plus intrigantes, aussi supprimĂ©es. Un prologue, en noir et blanc, prĂ©sentant une discussion animĂ©e entre scientifiques, religieux et politiques Ă propos de la possibilitĂ© de l'existence d'une intelligence extraterrestre. On peut trouver le script de cette scĂšne dans le livre de Jerome Agel, The Making of Kubrick's 2001 Signet Books, 1970. Une autre scĂšne montre plusieurs personnages dĂ©ambulant dans la base lunaire Clavius. Il y a Floyd, Halvorsen, jouĂ© par Robert Beatty, le docteur Bill Michaels SeanSullivan et d'autres personnes qui sortent d'un ascenseur et qui s'arrĂȘtent devant une classe de peinture avec des enfants. On a dit Ă plusieurs reprises que deux des petites filles Ă©taient les filles de Kubrick, mais c'est faux. En revanche, la professeure est bien interprĂ©tĂ©e par Christiane Kubrick, la femme de Stanley.»DĂ©sormais, la seule question qui se pose concerne le motif de la Warner qui, aprĂšs avoir refusĂ© de montrer ces images, a annulĂ© le financement du documentaire de Trumbull et Larson. Une banale question de droits ? Je ne peux pas donner de rĂ©ponse, je l'ignore», admet Larson, amer, qui n'a pas renoncĂ© Ă publier le livre dĂ©finitif» sur 2001.Les droits sont dĂ©tenus par la Warner qui est la branche distribution de Turner Entertainment qui a rachetĂ© l'ensemble du catalogue MGM des films tournĂ©s avant 1986. Je sais qu'il existait des problĂšmes de reversements de droits Ă propos de la musique originale. Comme vous le savez, les tarifs dans ce secteur ont explosĂ©. D'autre part, nous sommes au milieu d'une rĂ©cession dans le monde de la vidĂ©o et il est possible que la Warner ait prĂ©fĂ©rĂ© mettre son argent ailleurs. Tout ce que je peux dire, c'est que nous ne faisons plus partie de ses plans Ă l'heure actuelle. C'est assez triste car, plus le temps passe, plus nous perdons des tĂ©moins importants. Rien que l'an dernier, l'artiste Bob McCall et le directeur artistique John Graysmark sont morts.» Le plus Ă©trange dans ce refus de la Warner, c'est qu'on voit mal la firme se priver d'une Ă©dition DVD ou Blu-ray lestĂ©e d'un matĂ©riel inĂ©dit qui, Ă coup sĂ»r, se vendrait comme des petits pains. L'explication pourrait ĂȘtre simple, comme le souligne Larson Les images retrouvĂ©es dans ce coffre Warner du Kansas sont muettes. Elles proviennent d'un master YCM Yellow Cyan Magenta que la MGM avait fait tirer aprĂšs le montage. La bande-son a Ă©tĂ© effacĂ©e dans le processus.» A moins de bidouiller une nouvelle bande-son Ă partir du matĂ©riel existant - ce qui ne serait guĂšre sĂ©rieux -, il faut se faire une raison. Et dire adieu Ă l'espoir de voir un jour la version originelle de 2001. A moins que, dans un autre coffre oubliĂ© de la WarnerâŠ1
2001 l odyssée de l espace affiche